Entre l’artiste-interprète et son clone ou double numérique, quelles protections? La création du clone s’inscrirait-elle dans l’exercice du droit d’auteur de l’artiste? Qu’en est-il de la prestation du clone? Le « droit à l’image » prévaut certes à l’encontre de l’appropriation non autorisée de de la voix, de la ressemblance et de l’image d’autrui. Ce droit protégerait certes l’artiste de son vivant en cas d’exploitation non autorisée de ces attributs. Au Québec, survivrait au décès de l’artiste? Que de questions à explorer! Encore, encore et encore.
Conférencière : Me Vivianne de Kinder