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Vous pouvez vous inscrire dès à présent en ligne. Merci de nous informer dès que possible à : info@ajava.ca de toute restriction alimentaire ou allergie.
Faites vite ! Les places sont limitées !
* Toutes vos heures sont faites ? N'oubliez pas que vous pouvez reporter un maximum de six heures excédentaires de formation reconnue sur une seule période de référence subséquente, en les déclarant dans son dossier de formation en ligne, dans la rubrique « Report » prévue à cet effet.
Veuillez noter qu'aucune demande d’annulation, de remboursement ou de crédit ne sera acceptée. Il est néanmoins possible de se faire remplacer par une autre personne (bénéficiant du même tarif), à condition de transmettre en temps utile à l’AJAVA les coordonnées de la personne à qui l’attestation devra être transmise.
27 mars 2019
09:00H
Hôtel 10 /
10, rue Sherbrooke Ouest
Montréal, QC H2X 4C9
Formation d'un dispensateur reconnu aux fins de la formation continue obligatoire pour une durée de 5 h 00
Colloque de l’AJAVA
5 heures 15 de formation reconnue*
L’avocat en droit d’auteur et du divertissement est constamment confronté à une réalité changeante, qui amène son lot de petits et grands défis.
C’est dans ce contexte que l’AJAVA vous invite à son prochain colloque « Petits et grands casse-têtes de l’avocat en droit d’auteur et du divertissement », lequel sera l’occasion d’explorer ces questions qui peuvent venir nous tarauder !
L’exigence de l’écrit pour les cessions de droit d’auteur : conséquences et conseils pratiques ?
Toute cession d’un droit d’auteur canadien doit être faite par écrit, sous peine de nullité. Cette exigence d’un écrit peut sembler simple, mais elle a un certain nombre d'effets importants sur la validité des transactions courantes en matière de droits d'auteur. Cet exposé résumera la jurisprudence sur l'exigence de rédaction au Canada et fera un tour d’horizon des pratiques courantes auxquelles sont confrontés les praticiens du droit d'auteur.
Conférencier : Me Michael Shortt, du cabinet Fasken Martineau DuMoulin
Propriété intellectuelle et émojis
Qui est propriétaire des emojis? Qui est propriétaire du mot «émoji»? Peut-on même être propriétaire ou titulaire du mot «émoji»? Et comment? Par le droit d’auteur? En l’enregistrant comme marque de commerce? Comme brevet? À titre de dessin industriel, peut-être? Et qu’en est-il des binettes et des autres savants agencements typographiques destinés à transmettre une émotion avec un message écrit? Illustrations à l’appui, la première partie de la présentation explorera les grandes catégories de ces pictogrammes d’expression et ce qui, de leur fonctionnement technique, s’impose pour le droit; ce tableau brossé, la seconde partie abordera diverses qualifications possibles pour le droit de la propriété intellectuelle, mettant en lumière leurs avantages et leurs écueils.
Conférencière : Me Laurence Bich-Carrière, du cabinet Lavery avocats
Saisir notre patrimoine cinématographique par le droit ?
Grâce au soutien du Conseil des Arts du Canada, la Cinémathèque Québécoise prépare un ambitieux projet de diffusion libre du patrimoine cinématographique québécois. Outre des dons et fonds privés, la Cinémathèque acquiert sa collection par dépôt légal. Ainsi, le projet Savoir Commun du Cinéma (SCC) vise, en premier lieu, à verser ses métadonnées de ses fonds dans Internet pour éventuellement réfléchir à une présence numérique d'une partie de ses collections. Entre domaine public et libre accès, nous explorerons plusieurs questions juridiques structurant ce projet bibliothéconomique de numérimorphose.
Conférencier : Dr Olivier Charbonneau, bibliothécaire chercheur, Université Concordia
Inconduites sexuelles dans le milieu artistique – comment composer avec les nouvelles réalités?
C’est dans ce contexte que l’AJAVA vous invite à son prochain colloque « Petits et grands casse-têtes de l’avocat en droit d’auteur et du divertissement », lequel sera l’occasion d’explorer ces questions qui peuvent venir nous tarauder !
L’exigence de l’écrit pour les cessions de droit d’auteur : conséquences et conseils pratiques ?
Toute cession d’un droit d’auteur canadien doit être faite par écrit, sous peine de nullité. Cette exigence d’un écrit peut sembler simple, mais elle a un certain nombre d'effets importants sur la validité des transactions courantes en matière de droits d'auteur. Cet exposé résumera la jurisprudence sur l'exigence de rédaction au Canada et fera un tour d’horizon des pratiques courantes auxquelles sont confrontés les praticiens du droit d'auteur.
Conférencier : Me Michael Shortt, du cabinet Fasken Martineau DuMoulin
Propriété intellectuelle et émojis
Qui est propriétaire des emojis? Qui est propriétaire du mot «émoji»? Peut-on même être propriétaire ou titulaire du mot «émoji»? Et comment? Par le droit d’auteur? En l’enregistrant comme marque de commerce? Comme brevet? À titre de dessin industriel, peut-être? Et qu’en est-il des binettes et des autres savants agencements typographiques destinés à transmettre une émotion avec un message écrit? Illustrations à l’appui, la première partie de la présentation explorera les grandes catégories de ces pictogrammes d’expression et ce qui, de leur fonctionnement technique, s’impose pour le droit; ce tableau brossé, la seconde partie abordera diverses qualifications possibles pour le droit de la propriété intellectuelle, mettant en lumière leurs avantages et leurs écueils.
Conférencière : Me Laurence Bich-Carrière, du cabinet Lavery avocats
Saisir notre patrimoine cinématographique par le droit ?
Grâce au soutien du Conseil des Arts du Canada, la Cinémathèque Québécoise prépare un ambitieux projet de diffusion libre du patrimoine cinématographique québécois. Outre des dons et fonds privés, la Cinémathèque acquiert sa collection par dépôt légal. Ainsi, le projet Savoir Commun du Cinéma (SCC) vise, en premier lieu, à verser ses métadonnées de ses fonds dans Internet pour éventuellement réfléchir à une présence numérique d'une partie de ses collections. Entre domaine public et libre accès, nous explorerons plusieurs questions juridiques structurant ce projet bibliothéconomique de numérimorphose.
Conférencier : Dr Olivier Charbonneau, bibliothécaire chercheur, Université Concordia
Inconduites sexuelles dans le milieu artistique – comment composer avec les nouvelles réalités?
Cela fait un peu plus d'un an qu'ont éclaté des scandales d'inconduites et d'agressions sexuelles dans le milieu artistique. Qu'est-ce qui a changé depuis ? Et comment composer avec ces nouvelles réalités qui affectent les rapports entre les différents acteurs du milieu culturel ? Ce panel sera l'occasion de brosser un portrait des différentes initiatives qui ont été mises de l'avant suite aux scandales et discuter des nouveaux enjeux avec lesquels nous devons composer.
Conférencières : Me Virginie Maloney, coordonnatrice de L’Aparté – Clinique Juripop, et Me Christine Fortin, conseillère en relations de travail à l’Union des Artistes
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Conférencières : Me Virginie Maloney, coordonnatrice de L’Aparté – Clinique Juripop, et Me Christine Fortin, conseillère en relations de travail à l’Union des Artistes
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Vous pouvez vous inscrire dès à présent en ligne. Merci de nous informer dès que possible à : info@ajava.ca de toute restriction alimentaire ou allergie.
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* Toutes vos heures sont faites ? N'oubliez pas que vous pouvez reporter un maximum de six heures excédentaires de formation reconnue sur une seule période de référence subséquente, en les déclarant dans son dossier de formation en ligne, dans la rubrique « Report » prévue à cet effet.
Veuillez noter qu'aucune demande d’annulation, de remboursement ou de crédit ne sera acceptée. Il est néanmoins possible de se faire remplacer par une autre personne (bénéficiant du même tarif), à condition de transmettre en temps utile à l’AJAVA les coordonnées de la personne à qui l’attestation devra être transmise.
Nos
commanditaires
Nos
conférenciers
Laurence Bich-Carrière
Lavery, avocats
Membre des barreaux du Québec et de l’Ontario, Laurence Bich-Carrière exerce au sein du groupe de Litige et règlements de différends, dans une pratique polyvalente : action collective, affaires municipales, consommation, construction, droit administratif, expropriation, sont autant de domaines dans lesquels ses services sont retenus. Dans ce cadre, elle est appelée à représenter divers clients devant les tribunaux, notamment devant les instances d'appel, mais aussi à les conseiller en matière de rédaction, de négociation contractuelle ou de règlement et relativement à la gestion des risques.
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Olivier Charbonneau
Olivier Charbonneau, BCom, Bibl. prof., LLM
Carnet professionnel : www.culturelibre.ca (lancé en 2005); www.outfind.ca (en anglais, lancé en 2011)
Langues : Français, Anglais, Portugais (fonctionnel)
Membre : Association francophone pour le savoir (ACFAS), Association pour l'avancement des sciences et des techniques de la documentation (ASTED), Association Science et Bien Commun, Concordia University Faculty Association (CUFA)
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Christine Fortin
Union des artistes
Me Christine Fortin pratique en droit du travail et de l’emploi depuis 15 ans. Après ses études à l’Université de Montréal, elle a pratiqué pendant 10 ans dans un cabinet spécialisé en droit du travail pour les entreprises
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Virginie Maloney
Aparté
Virginie Maloney est l’avocate qui coordonne l’Aparté et qui reçoit les personnes requérantes.
Virginie a débuté sa pratique en droit médical et en psychiatrie légale au cabinet Ménard, Martin avocats. Par la suite, elle a exercé dans la représentation des victimes d’actes criminels, d’accidents du travail et d’accidents de la route.
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Michael Shortt
Fasken Martineau DuMoulin SENCRL, s.r.l.
Michael Shortt est avocat salarié chez Fasken et chef du Groupe de pratique de l’industrie des jeux vidéo. En matière transactionnelle, Michael rédige et négocie un large éventail de contrats commerciaux, de licences de propriété intellectuelle, d’ententes de logiciel-service (« SaaS »), de conventions de développement de logiciel, de conditions d’utilisation de sites Web et de contrats d’édition de jeux vidéo.
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